29 octobre 2006

Carlos Santana et Eric Clapton pour une jam de 24 min

Un moment rare et difficille a trouver mais un vrai bonheur pour les guitaristes!
j'espère que vous apprecierez!


@+
jp

30 décembre 2005

stairway to heaven

Led Zeppelin IV (1971)
L'album commence comme les trois précédents par du rock typiquement "ledzeppien" avec Black dog et Rock'n'roll. Mais le son suramplifié qui les caractérisait dans les album "I" et "II" tend à s'effacer en partie au profit de superbes plages acoustiques: The battle of Evermore, Going to California, et surtout le titre qui fit de Led Zeppelin un groupe mythique: Stairway to Heaven, comprenez la voie vers le paradis. Pourtant le début n'inspire rien de bon: quelques notes de guitare acoustique et un pipeau qui évoque davantage le générique de "Bonne nuit les petits" qu'un monument du rock. Mais après quelques minutes, le pipeau cède sa place à une voix et une guitare inhabituellement douces, laissant s'installer un climat magique. Puis vient l'apparition de la batterie après seulement 4 minutes. La guitare électrique n'apparaît que bien plus tard pour un solo court, mais d'anthologie. Led Zeppelin était jusqu'ici un bon groupe de rock. Ils accèdent là au grand livre de l'histoire de la musique. Le CD s'achève par When the levee breaks, morceau aux influences blues (on y revient toujours!) qui reste quoi qu'on en dise le point de départ du rock.

EXCELLENTISSIME!!! Page et son groupe livrent là un monument du rock.
Les premières notes de "Stairway" sont vraisemblablement inspirées d'un morceau du groupe Spirit, "Taurus", que l'on retrouve sur le premier album de ce groupe paru en 1968. La ressemblance est assez flagrante, même si les accords ne sont pas exactement les mêmes... En outre Led Zeppelin a tourné avec Spirit lors de leur première tournée américaine en 69, ce qui laisse supposer que Page a très bien pu entendre le morceau à l'époque... Ceci dit, il est possible qu'il s'agisse d'une coincidence, mais c'est tout de même improbable.
Jimmy avait déjà enregistré des démos de cette introduction acoustique en octobre 70, lors de leur deuxième séjour à Bron-yr-Aur. Une partie du morceau existait donc déjà bien avant que le groupe n'aille à Headley Grange pour préparer et enregistrer l'album, mais la composition finale (dont les paroles de Plant) et les arrangements furent fait à Headley.
Le célèbre solo de Jimmy fut joué sur sa Fender Telecaster (et non sur Les Paul qui était devenu sa guitare préférée depuis le deuxième album). Il fit trois soli, à chaque fois différent, et garda "définitivement le meilleur".
C'est John Paul qui accompagne la guitare de Jimmy à la flûte à bec sur l'intro (ce n'est donc PAS joué au mellotron ni par un autre clavier comme on peut parfois le lire), mais il n'est pas crédité au morceau... Ce n'est que sur scène qu'il remplaçait la flûte par un clavier.
Quant à Jimmy, pour pouvoir jouer ce joyau en concert, il s'est acheté ce qui deviendra l'une des icônes du dirigeable : la célèbre Gibson double manche (EDS-1275 Doubleneck), avec ses 12 cordes sur le manche supérieur et 6 sur l'autre (le 6 cordes servait pour l'arpège d'intro et le solo, le 12 cordes pour le reste), le tout d'un poids très imposant... Contrairement à ce que l'on peut souvent lire, ce n'est pas Jimmy Page qui a fait construire ce modèle pour lui : il existait depuis 1958 chez Gibson mais sa diffusion était restée confidentielle jusqu'à ce que Jimmy la rende célèbre. John Mc Laughlin par exemple l'a utilisé avant lui...
Il n'y a pas de messages satanistes cachés dans "Stairway To Heaven". Pas plus que dans "Hotel California" des Eagles ou d'autres chansons "accusées" de contenir des messages cachés lorsqu'on les passe à l'envers (même s'il existe des cas délibérés, les deux plus connus étant sur "Empty Spaces" de Pink Floyd et sur "Fire On a High" d'Electric Light Orchestra)... En fait ces rumeurs ont été lancées en Californie par un comité de parents puritains et des leaders religieux qui voulaient prouver que le rock menait les enfants au satanisme. Ils ont donc écouté des dizaines et des dizaines de morceaux à l'envers (!) avec l'espérance d'y trouver des "preuves". Sans commentaires...


Encore un morceau d'anthologie! si vous aimez ce titre:
achetez l'album




l'album:
Led Zeppelin IV

le titre :
stairway to heaven

la playlist:
  • Black Dog

  • Four Sticks

  • Going To California

  • Misty Mountain Hop

  • Rock'n 'Roll

  • Stairway To Heaven

  • The Battle Of Evermore

  • When The Levee Breaks


le personnel:

  • Robert Plant: chant

  • Jimmy Page: guitare

  • John Paul Jones: basse

  • John Bonham: batterie

18 novembre 2005

Chocoreve

Mon blog favori !!
les découvertes de bzh555 sont vraiment top
jp

22 mars 2005

encore un solo d'anthologie!!


Le groupe rock Lynyrd Skynyrd
nait en 1965 a Jacksonville aux Etats-Unis .
En 1973, les six californiens enregistrent leur premier album
"Pronounced Leh-Nerd Skin-Nerd" avec le guitariste Ed King.
Le groupe se fait connaitre avec le titre Free Bird.
Son deuxieme album "Second Helping" fait un carton.
Artimus Pyle remplace Bob Burns et Ed King quitte le groupe.
En 1975, sort "Nuthin' Fancy" qui rentre dans le Top Ten americain.
L'annee suivante, Lynyrd Skynyrd signe "Gimme Back My Bullets".
Le guitariste Steve Gaines participe a la tournee qui suit.
Le groupe enregistre en 1977 "Street Survivors".
Trois jours apres la sortie du disque, l'avion du groupe
s'ecrase. Ronnie Van Zant, Steve Gaines et sa soeur sont tues.
Lynyrd Skynyrd se separe peu de temps apres le crash.
La compilation de demos "Skynyrd's First... and Last" sort en 1978.
Elle est suivie de la compilation "Gold and Platinum".
En 1986, Allen Collins meurt des suites d'un accident de voiture.
L'annee suivante, Gary Rossington, Billy Powell et Ed King
reforment Lynyrd Skynyrd avec le chanteur Johnny Van Zant
et le guitariste Randall Hall.
Pendant les annees 90, ils font des tournees et enregistrent quelques
albums dont "Edge of Forever" en 1999 et "Vicious Cycle" en 2003.

Encore un morceau d'anthologie! si vous aimez ce titre:
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le disque:
"Pronounced Leh-Nerd Skin-Nerd" 1973
le titre:
"Free bird" hommage à Duane Allman mort en 71 d'un accident de moto!

La Playlist:

1.Tuesday's gone
2.Gimme three steps
3.Simple man
4.Things goin' on
5.Mississippi kid
6.Poison whiskey
7.Freebird

Le personnel:

Ronnie Van Zant (chant)
Allen Collins (guitare)
Gary Rossington (guitare)
Leon Wilkeson (basse)
Bob Burns (batterie)
Billy Powell (clavier)

21 mars 2005

Little Wing revisited

depuis sa disparition en 1970, peu de guitaristes se sont aventurés à reprendre les morceaux du Voodoo Child, tellement l'entreprise s'avère techniquement et artistiquement risquée. Hendrix appartient à cette catégorie de musiciens d'une autre dimension, qui ont placé la barre si haut que leur oeuvre semble être inaccessible. Mais le défi ne fait pas peur à Stevie Ray Vaughan. Tout comme Hendrix, il possède ce feu et cette faculté de s'abandonner complètement lorsqu'il joue, qui ajoutés à sa virtuosité instrumentale, lui permettent de délivrer des interprétations époustouflantes des compositions de son idole.
J'aime Hendrix pour plein de raisons. Il était tellement plus qu'un simple guitariste de blues. Il jouait extraordinairement bien tous les styles de guitare . En fait, je ne suis pas sûr qu'il jouait même de la guitare. Il jouait de la musique.C'est tout!!
Stevie enregistre une magistrale reprise de Voodoo Chile sur son deuxième album Couldn't Stand The Weather, en hommage au maître et également dans le but de faire découvrir sa musique à son plus jeune public. Il enregistre également une version instrumentale d'anthologie de Little Wing, qui sortira en 1991 sur l'album posthume The Sky Is Crying. En concert, il est fréquent qu'il interprète une ou deux (voire trois) compositions d'Hendrix : Voodoo Chile, Little Wing et Third Stone From The Sun sont des classiques de son repertoire live. Il joue d'ailleurs ce dernier titre comme le faisait Hendrix, terminant le morceau de façon apocalyptique en se déchaînant sur sa pauvre Stratocaster dans une lamentation de larsens. Le DVD "Live At The El Mocambo" en donne une démonstration particulièrement saisissante.

artiste : SRV & Double Trouble
album : The Sky Is Crying (Epic)
le titre choisi: little wing

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la playlist
:

1. Boot hill
2. The sky is crying
3. Empty arms
4. Little wing
5. Wham
6. May I have a talk with you
7. Close to you
8. Chitlins con carne
9. So excited
10. Life by the drop

le personnel:

Stevie Ray Vaughan: guitare chant
Chris "Wipper" Layton: batterie
Tommy Shanon: basse
Reese Wynams: clavier

11 mars 2005

Hotel California

Hotel California

The Eagles
C'est en 1971, a Los Angeles, que Glenn Frey, forme
The Eagles.Le groupe est forme de Randy Mesner (chant/basse),
Bernie Leadon (chant/guitare/banjo), et Don Henley (chant/batterie).
En 72, le groupe enregistre un premier album eponyme qui sort sur
le label Asylum, et qui rencontre un veritable succes, notamment
graceau titre Take It Easy, suivi de Desperado en 72. Deux ans
plus tard,The Eagles enrole le guitariste Don Felder, et enregistrent
On The Border,qui impose le groupe de part et d'autre de l'Atlantique
L'annee suivante, parait One Of These Nights, avec le fameux
Lyin'Eyes. Peu de temps apres,Bernie Leadon, decide de quitter
le groupe, il est remplace par Joe walsh,le guitariste de
James Gang, qui fait ses debuts sur Mark II, dont est extrait
le desormais incontournable Hotel California et qui consacre
le groupe.Malgre ce succes, le groupe se voit enferme dans
un cliche hollywoodien,auquel la formation ne survivra pas.
En 79, The Eagles enregistrent alors,un dernier album
The Long Run, suivi d'un double live, edite a titre posthume.
Quatorze ans plus tard, le groupe fait encore parler de lui,
grace a ce fameux hotel, qui fait encore vendre!
The Eagles decident alors, de se reformer, pourune tournee
et un nouvelalbum Hell Freezes Over, mi-unplugged, mi-best Of,
revisite par quelques inedits, dont le single New York Minute.


l'album:Hotel California - Album CD - 1976 - Asylum :

le titre: Hotel california

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La playlist:

1-Hotel California
2-New Kid in Town
3-Life in the Fast Lane
4-Wasted Time
5-Wasted Time (Reprise)
6-Victim of Love
7-Pretty Maid All in a Row
8-Try and Love Again
9-The Last Resort

Le personnel:
Glenn Frey
Don Felder :(guitare)
Don Henley :(chant/batterie
Randy Mesner :(chant/basse)
Joe walsh:(chant/guitare)

7 mars 2005

"le plus grand simple de rock"

Like A Rolling Stone
L'ALBUM : "HIGHWAY 61 REVISITED" - 1965
Bob Dylan

L'album du 'passage' de l'acoustique a l'electrique!!!! La première chanson, " Like a rolling Stone ", véritable déflagration restera un hymne de toute une génération : " How does it feel ? ". Accompagné par des musiciens hors-pair (Michael Bloomfield, g. ; Al Kooper, org. et p. ; Charley McCoy, g), Dylan fout le feu et casse sa réputation de 'folkeu' pour montrer le chemin à suivre pour les prochaines années.

Bob Dylan, pour l'état civil Robert Allen Zimmerman, est natif de Duluth, dans le Minnesota où il a vu le jour le 24 mai 1941. Il prend ce pseudonyme en référence au poète gallois Dylan Thomas.
Il grandit à Hibbing, une petite cité minière située à la frontière du Canada. Il fugue dès l'âge de 10 ans (!) à Chicago, capitale du blues, où il retourne deux ans plus tard. Selon la légende, c'est là qu'il croise le bluesman Big Joe Williams qui lui fait don d'une vieille guitare.
A l'aube de ses vingt ans, Dylan sillonne les Etats-Unis en auto-stop puis intègre l'université du Minnesota où il suit des études littéraires. Parti à New York, il y rencontre son idole, Woody Guthrie puis enregistre quelques titres avec la chanteuse Carolyn Hester.
The Freewheelin'
Son premier album, éponyme, arrive en 1961 et lui permet de revisiter des grands classiques blues et folk. Un style qui va vite devenir sa marque de fabrique tout comme sa voix nasillarde et reconnaissable entre mille...
Il enchaîne avec un premier disque vraiment personnel, The Freewheelin' Bob Dylan, dans lequel ses talents d'auteur et son âme de poète font vite l'admiration de tous. Le titre Blowin' In The Wind est ensuite popularisé par le trio Peter, Paul & Mary.
A partir de 1964, sa musique se durcit un peu (il électrifie sa guitare) et les opus Bringing It All Back Home et surtout Highway 61 Revisited en font une star. Il tourne aux côtés de Joan Baez et joue dans les plus grands festivals du monde.
En 1976, le New Musical Express a nommé Highway 61 Revisited "le plus grand simple de rock de tous les temps". Le suspense s'y développe tout au long de ses six minutes (version studio). Au départ, le narrateur semble vindicatif, comme s'il s'amusait à observer une personne trop protégée forcée de sortir dans un monde cruel. Pourtant, cette version et d'autres qui suivirent révèlent une triste résignation qui radoucit le ton du "je te l'avais bien dit".
Dylan utilise probablement l'"école" comme symbole d'un mode de vie. Il voit l'horreur s'emparer de toute personne qui rompt soudainement après avoir été intimement lié à un mode de vie. "Rolling Stone" traite de la perte de l'innocence et de la dureté de cette expérience. Les mythes, les faux-semblants et les vieilles croyances s'écroulent pour révéler une réalité fort éprouvante.
La légende dit que Dylan a composé cette chanson en une nuit et au piano, et qu'elle fut enregistrée en une seule prise (d'après ce qu'on sait aujourd'hui, c'est un peu exagéré). Al Kooper improvisa la partie d'orgue, et grâce à la guitare de Mike Bloomfield, la partie instrumentale devint célèbre. La voix de Dylan par son urgence, semble anticiper le tempo. "Rolling Stone" fut une des rares chansons de Dylan à grimper en tête des hit-parades dans le monde entier.


L'ALBUM : "HIGHWAY 61 REVISITED" - 1965

le titre:"Like A Rolling Stone"

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l'album : Highway 61 Revisited

Date sortie : 30 Août 1965

Genre : Rock/Folk



la playlist:


Like A Rolling Stone
Tombstone Blues
It Takes A Lot To Laugh,
It Takes A Train To Cry
From A Buick 6
Ballad Of A Thin Man
Queen Jane Approximately
Highway 61 Revisited
Just Like Tom Thumb's Blues
Desolation Row

le personnel:

bob dylan: guitare ,chant
Al Kooper: orgue
Mike Bloomfield: guitare
charley Mac Coy:

6 mars 2005

...All This Time

Sting
...All This TIme

Le 11 septembre 2001, Sting annula le webcast du concert qu'il donna en Toscane. Seule, la chanson "Fragile" qu'il dédicaça aux victimes de l'attentat fut diffusée.
Après que la retransmission fut arrêtée, Sting donna devant les 200 personnes présentes ce soir-là un concert exceptionnel qui restera comme l'un des plus intenses et émouvants de sa carrière.
Ce concert fut enregistré et filmé. On y retrouve les grands classiques de Sting et de Police, tous interprétés avec des nouveaux arrangements réinventés par l'artiste et ses prestigieux musiciens pour ce live unique.
L'artiste le dédicace d'ailleurs à toutes les victimes des attaques terroristes.

Label/Distr.: A&M Records/Polydor
Recorded live at Il Palagio Studios, Italy on September 11, 2001
le titre choisi: Every Breathe you take
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LA PLAYLIST
:

1 - Fragile
2 - A thousand years
3 - Perfect love... Gone wrong
4 - All this time
5 - The hounds of winter
6 - Mad about you
7 - Don't stand so close to me
8 - When we dance
9 - Dienda
10 - Roxanne
11. Set Them Free, (If You Love Someone)
12. Brand New Day
13. Fields Of Gold
14. Moon Over Bourbon Street
15. Shape Of My Heart
16. If I Ever Lose My Faith In You
17. Every Breath You Take

Le Personnel:

Sting (vocals, guitar, bass)
Dominic Miller (guitar)
B.J. Cole (pedal steel)
Jaques Morelenbaum (cello)
Chris Botti (trumpet)
Clark Gayton (trombone)
Jason Rebello (piano)
Kipper (keyboards, programming)
Christian McBride (acoustic bass)
Manu Katche (drums)
Marcos Suzano (percussion)
Haoua Abdenacer (djarbuka)
Jeff Young, Katreese Barnes, Janice Pendarvis (background vocals).

4 mars 2005

Retour aux sources

Le film qui m'a fair decouvrir le reggae c'etait "The harder They come" je me souviens de l'avoir vu dans un petit cinema du bd st germain a sa sortie en France.La bande son etait geniale!!
L'artiste majeur du film etait Jimmy Cliff , un artisan essentiel de la naissance du reggae ,il débute avec un 45 tours, Daisy Got Me Crazy.
Sa carrière décolle en 1965 avec une tournée américaine en compagnie de Prince Buster... sponsorisée par le gouvernement jamaïcain ! Après ce passage américain, Cliff poursuit sa tournée en Angleterre, puis en Europe, où il rencontre Chris Blackwell, patron de Island, qui lui propose un contrat. Cliff prépare alors le terrain pour Marley...
Pour l'histoire, Cliff fit deux passages en 66-67 en France (au Bataclan et au Palais des Sports), avec pour ce deuxième concert la présence d'Alain Bashung en première partie.
En trois titres, autour de 1970, Cliff va imposer son talent et sa persévérance : Wonderful World Beautiful People, WiId World (la version reggae du standard de Cat Stevens) et Vietnam achèvent de le consacrer dans l'imaginaire des amateurs de reggae, puis des autres...
Mais c'est avec le film" The Harder They Come", en 1972, que Cliff rencontre définitivement le succès à l'échelle internationale. Ce film, où il tient le rôle principal, raconte les aventures mouvementées d'un jeune zonard jamaïcain, Ivan, qui descend à Kingston afin de devenir chanteur. Il se fait alors copieusement arnaquer par le business musical local. Trois titres issus de la bande originale du film deviennent des succès internationaux : The Harder They Come, You Can Get It If You ReaIIy Want et l'incontournable Many Rivers To Cross, repris ultérieurement par les Animals et Joe Cocker.
le titre: l'inoubliable "many river to cross"
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La playlist:

1. You Can Get It If You Really Want -- Jimmy Cliff
2. Draw Your Breaks -- Scotty
3. Rivers of Babylon -- The Melodians
4. Many Rivers To Cross -- Jimmy Cliff
5. Sweet and Dandy -- The Maytals
6. The Harder They Come -- Jimmy Cliff
7. Johnny Too Bad -- The Slickers
8. 007 (Shanty Town) -- Desmond Dekker
9. Pressure Drop -- The Maytals
10. Sitting in Limbo -- Jimmy Cliff
11. You Can Get It If You Really Want -- Jimmy Cliff
12. The Harder They Come -- Jimmy Cliff

2 mars 2005

"hittin the note"

Les aléas de la vie, la méfiance instinctive à l'égard du marketing des Jeunes Prodiges du Blues ™ à la Johnny Lang et la couverture de son premier album solo m'avaient refroidi au point que je n'ai pas poursuivi mes recherches, malgré l'intérêt que j'avais a priori pour cet artiste. C'est finalement en 2002, via mon goût pour le groupe de rock sudiste Gov't Mule, que j'ai retrouvé la trace de Derek trucks. Warren Haynes, le leader de Gov't Mule, organise tous les hivers un concert au bénéfice d'Habitat pour l'Humanité. L'édition 1999 de ce concert est sortie en CD sous le nom de Wintertime Blues et l'un des groupes invités était justement le Derek Trucks Band. Après plusieurs écoutes de leur set, j'étais conquis, il ne me restait plus qu'à rattraper mon retard…
En 2000 Derek Trucks reçoit l'invitation que beaucoup attendaient depuis le hiatus du Allman Brothers Band : la place de second guitariste aux côtés de Dicky Betts. Derek connaît bien la formation et son répertoire et est donc rapidement au niveau, et le jeune homme effacé est vite adopté par les fans. Il figure sur le live de la traditionnelle session printanière du ABB au Beacon Theatre de New York intitulé, assez ironiquement, Peakin' at the Beacon. L'ironie, bien sûr, réside dans le fait que Dicky Betts a été viré du groupe par Gregg Allman suite à cet enregistrement. Le restant de la tournée 2000 de l'ABB se fera avec Jimmy Herring, mais c'est finalement Warren Haynes, qui avait officié aux côtés de Betts dans l'ABB du début des années 90 qui rejoindra la formation définitive.

Parallèlement a ses activites avec son groupe Derek continue à jouer au sein du Allman Brothers Band aux côtés de Warren Haynes à la seconde guitare. De l'avis des fans, c'est la meilleure formation de l'ABB depuis longtemps, et ils sortent en 2003 le premier album du groupe depuis 7 ans, Hittin' the Note. Derek y brille par des solos puissants et une interaction permanente avec Warren Haynes. Cet album studio sera suivi par la sortie fin 2003 du DVD Live at the Beacon Theater couplé à la diffusion en 2004 du double CD One Way Out qui documente la même tournée, mais pas nécessairement les mêmes enregistrements. On y voit et entend un Derek à l'aise et capable de faire monter la sauce avec talent et finesse, en réponse au son plus incisif de Warren Haynes....
l'album Hittin the note (2003)
le titre: "Desdemona"

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la playlist:
1. Firing Line
2. High Cost of Low Living
3. Desdemona
4. Woman Across the River
5. Old Before My Time
6. Who to Believe
7. Maydell
8. Rockin' Horse
9. Heart of Stone
10. Instrumental Illness
11. Old Friend

personnel:
Gregg Allman: Piano, Organ (Hammond), Vocals, Clavinet,
Warren Haynes:Guitar (Acoustic), Guitar, Vocals, Vocals (bckgr), Slide Guitar,
Oteil Burbridge: Bass
Jaimoe: Drums
Marc Quinones: Percussion, Conga
Butch Trucks:Drums
Derek Trucks: Guitar (Acoustic), Guitar, Slide Guitar

28 février 2005

1967 annee magique!!

Le Spencer Davies Group avec Gimme Some Lovin et Steve Winwood;
e Spencer Davis Group a publie "Gimme Some Lovin" en Mars 1967.Peu apres, Steve Winwood formera Traffic (un des super groupe de l'epoque) avec Jim Capaldi (paix a son ame!!),Dave Mason,Chris Wood ,des amis rencontres a l'elbow room, un club de Aston dirigé par Don Carless.
Traffic s'installe dans une propriete a Aston-Tirrold dans le Berkshire ,maison appartenant a William Piggot-Brown.William est l'un des proprietaires de Island Records.
Le spencer Davies Group apparait dans "Scene Through The Eye Of A Lens" / "Gypsy Woman" publie en Septembre 1967.Ensuite la bande son de Mulberry Bush est realisee en Novembre 1967.Steve apparait dans des titres joues ausii bien par Traffic et par le Spencer Davies Group.
En Decembre 1967 ,Traffic sort son premier album : " Mr. Fantasy " sur Island Records.
Steve Winwood apparait sur Raw Blues dans "Long night" joue par John mayall sous le pseudo de " Steve Anglo" publie en janvier 1967.
Le 4 Mars ,c'est la confirmation du depart de Steve Winwood du Spencer Davies Group . Muff Winwood quitte le groupe egalement pour diriger A&R a l' Island Agency. Pete York et Spencer Davies reste avec le groupe pour former la nouvelle incarnation de SDG!!
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L'album:
SDG: Gimme Some Lovin’
(UA UAL 3578)

Sortie 03/67

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Le Personnel:
Steve Winwood: Vocals, guitar, keyboards
Spencer Davis: Guitar
Muff Winwood: Bass, vocals
Peter York :Drums

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SINGLES:
SDG: "Somebody Help Me" / "On the Green Light" released as US single, 06/67
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La Playlist:
1. Gimme Some Lovin'(Winwood)
2. Keep on Running(J. Edwards)
3. This Hammer (Trad Arr. Davis/York, M. & S. Winwood)
4. Nobody Knows When You're Down and Out(J. Cox)
5. When I Come Home(J. Edwards-S.Winwood)
6. It Hurts Me So(Winwood)
7. Somebody Help Me(Edwards)
8. Midnight Special (Trad. Arr. Spencer Davis)
9. Here Right Now(Winwood)
10. Trampoline(Winwood) n/a
11. Sittin' and Thinkin' (S. Davis)
12. Goodbye Stevie(S. & M. Winwood – S.Davis – P. York)

27 février 2005

SRV enfin!!!!

Je recherchais un morceau depuis quelque temps et ne le retrouvais pas! Ah la mémoire !!

il s'agit du "Riviera Paradise" de Stevie Ray Vaughan:
Par le choix de ses titres,le disque In Step n'est pas fondamentalement différent de Couldn't Stand The Weather ou Soul To Soul. On y trouve du blues, bien sûr, traditionnel et contemporain ; du rock, du funk, du jazz. Egalement des reprises d'idoles de Stevie, en l'occurrence Buddy Guy et Howlin' Wolf. Mais SRV insuffle à chaque morceau une magie et une énergie régénérées, et son jeu de guitare atteint un niveau d'intensité exceptionnel. Parmi les titres phares de l'album, citons Crossfire, blues-rock moderne et carré qui se hisse à la première place des hits radio, une première dans la carrière du texan ; Tightrope et Wall Of Denial, deux compositions funk-rock cosignées SRV-Bramhall, hantées par les expériences douloureuses du guitariste ; The House Is Rockin', rock n' roll incendiaire au solo exemplaire d'efficacité et de concision ; Leave My Girl Alone de Buddy Guy, blues lent dans lequel Stevie fait littéralement pleurer sa guitare ; et le sublime Riviera Paradise, ballade instrumentale jazzy, écho du Lenny de Texas Flood.

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Le disque: In Step
sortie Date: 03/07/1989

la playlist
1. The House Is Rockin'
2. Crossfire
3. Tightrope
4. Let Me Love You Baby
5. Leave My Girl Alone
6. Travis Walk
7. Wall Of Denial
8. Scratch-N-Sniff
9. Love Me Darlin'
10. Riviera Paradise
11. SRV Speaks*
12. The House Is Rockin' (LIVE)*
13. Let Me Love You Baby (LIVE)*
14. Texas Flood (LIVE)*
15. Life Without You (Live)*

Tracks 12 a 15
rec: November 29, 1989
previously unissued live recordings
*BONUS TRACKS - previously unreleased

Le personnel:
Stevie Ray Vaughan: guitare chant
Chris "Wipper" Layton: batterie
Tommy Shanon: basse
Reese Wynams: clavier

26 février 2005

Black Magic

Abraxas (1970)

Il est toujours delicat de critiquer un album sorti il y a 30 ans et sur lequel tout a ete dit. Au depart, il y avait Woodstock et puis un de ses guitar-heroes: Carlos Santana qui présente là son 2ème opus. Le petit Carlos a plus d'un tour derrière sa moustache... Il n'a pas son pareil pour créer ce melting-pot musical dont lui seul a la recette. Ce savant mélange entre héritage paternel et rock, entre percussions endiablées et guitare enflammée. Bien sûr, on pourrait discuter des heures des titres Oye como va de Tito Puente, ou encore de l'hymne santanesque, qui en fait n'en est pas vraiment un, puisque repris à Peter Green: Black magic woman. En tous les cas, une chose est bien sûre, Santana, avec ces deux titres et cette oeuvre dans son intégralité, a marqué définitivement l'histoire du rock et mis ainsi les fondations de la fusion entre musique sud-américaine en général et rock. L'important ici n'est ni le manque de création personnelle de l'artiste (seul Samba Pa Ti a été composé par Carlos), ni la longueur qui excède à peine la demi-heure. Ce CD est tout simplement une merveille au milieu de milliers d'albums, une référence que tout mélomane se doit de connaître.

LE Santana incontournable.
Un must! si vousaimez ce titre: achetez l'album :





Abraxas
12 titres
Sony Music/Columbia

personnel:

Carlos Santana
Cregg Rolie
Neal Shon
David Brown
Michael Shrieve
Mike Carabello
Jose "Chepito" Areas


TRACKLIST

Abraxas
1 - Singing winds, crying beasts
2 - Black magic woman / Gypsy queen
3 - Dye como v
4 - Incident at neshabur
5 - Se a cabo
6 - Mother's daughter
7 - Samba pa ti
8 - Hope you're feeling better
9 - El nicoya
10 - Bonus tracks : All recorded live at the royal Albert Hall april 18, 1970 : Se a cabo
11 - Bonus tracks : All recorded live at the royal Albert Hall april 18, 1970 : Toussaint l'overture
12 - Bonus tracks : All recorded live at the royal Albert Hall april 18, 1970 : Black magic woman / Gypsy queen

Georges!!

Aujourd'hui c'est le jour des pantins!! un s'en va l'autre arrive !!
Alors en dérision je vous propose un des meilleurs solo de guitare ,un des plus long aussi! accessible aux esprits tordus seulement!!Merci Simon
cela reflète bien mon état d'esprit du jour!!




Funkadelic : "Maggot brain"
Label : Westbound
Distributeur : Night & Day
Date d'enregistrement : 1971
Personnel:
George Clinton -overseer, songwriting, vocals
Eddie Hazel -lead guitar
Tawl Ross -guitar, vocals
Bernie Worrell -keyboards, vocals
Billy Nelson -bass
Tiki Fulwood -drums
Garry "Doo-Wop" Shider -vocals

En 1971 Funkadelic attaque le troisième album Maggot's Brain, mon titre préféré Eh Eh : "Maggot brain", le plus grand instrumental du groupe, qui suffit à classer Eddie Hazel parmi les génies de la guitare. Cet album est celui qui lorgne le plus vers Hendrix (il lui est dédié complètement, en fait), c'est peut-être pour ça que c'est leur meilleur. Ce funk psychédélique est indispensable dans toute collection digne de ce nom. Enfin... si vous pouvez écouter du Velvet, du Sly & the Family Stone, du Hendrix, du James Brown... vous aimerez Funkadelic. Et "Maggot Brain", c'est sûrement le meilleur. Sans vouloir faire de classement.Si vous Aimez: Achetez ce disque.

24 février 2005

Un titre mythique

Aujourd'hui je vous propose un titre mythique d'un groupe mythique: Allman Brothers Band!!
Allman Brothers Band, " Fillmore Concerts ", 1971, Polydor.
En 1971, le plus grand groupe de rock’n’roll du monde n’était pas les Rolling Stones qui entamaient déjà leur déchéance, ni les Beatles qui sucraient déjà les fraises, ni même encore les Led Zeppellin (bientôt, bientôt…), mais bien un obscur groupe de rock sudiste qui écumaient les bars et bientôt les stades à coup de jams étirées et d’improvisations lumineuses.
Enregistrés au faite de leur gloire, au sein du mythique Filmore East de New York, ces musiciens livrent là ce qui constituera l’étalon des albums live : un summum de cohésion, de musicalité et d’énergie qui constitue encore un disque indépassable.
Leur grande force fut de se connaître à fond grâce aux nombreuses années passées à écumer les bars et les clubs, à jouer et rejouer leur répertoire composé majoritairement de vieux standards du Blues.
Le résultat fut donc un groupe totalement cohérent où aucun musicien ne prend le pas sur les autres, où chacun laisse tomber son ego afin de servir le morceau laissant à tout le monde le loisir de s’exprimer (comme le montre la longueur des morceaux – un morceau de 22 minutes et un autre de 33 minutes ! ! ! -).
On ne retrouve donc ici que des musiciens exceptionnels (dont deux batteurs ! ! !) et en particulier les deux guitaristes fabuleux que sont l’injustement célèbre Dickey Betts – dont le solo sur " In Memory Of Elizabeth Reed " se révèle d’une grande finesse – et bien sur le mythique Duane Allman.
Ce maître de la slide guitar fait partie des quelques comètes qui ont traversées la galaxie rock. En quelques années à peine, il réussit à rendre archi célèbre son propre groupe et à se faire reconnaître par le Dieu Vivant lui même qui l’invite sur l’album Derek & the Dominoes pour quelques duels endiablés. Un terrible accident de voiture lui coûtera malheureusement la vie quelques mois plus tard...
L’ensemble de l’album se révèle dense à souhait et constitué en bonne partie par des parties instrumentales (" Whippin’ Post " et " Mountain Jam "). On retiendra entre autres Un " Stormy Monday " de T. Bone Walker, bluesy à souhait, le " Statesboro Blues " de Blind Willie Mc Tell qui a donné envie à Duane de se mettre à la slide, L’irrésistible " One Way Out ", le " Done Somebody Wrong " d’Elmore James dans une version rageuse, et surtout un " In Memory Of Elizabeth Reed " : typique de la beauté des compositions des Allman : cohésion, intégration totale de chaque instrument, respect de chacun, …Et deux solos de guitares limpides, lumineux et totalement complémentaires.

Un album indémodable et des musiciens fabuleux de lyrisme et d’inventivité. Que demander de plus ?





personnel:
Gregg Allman : Piano, Claviers, Chant
Dickey Betts : Guitare, Chant
Duane Allman : Guitares
"Jaimoe" Johanson: Batterie, Percussions
Berry Oakley : Basse
Butch Trucks : Batterie, Percussions
titres:
1 Statesboro Blues (McTell)
2 Done Somebody Wrong (James/Levy/Lewis)
3 Stormy Monday (Walker)
4 You Don't Leave Me (Cobbs)
5 Hot 'Lanta (Allman/Allman/Betts/Johanson/Oakley/Trucks)
6 In Memory Of Elizabeth Reed (Betts)
7 Whipping Post (Allman)

23 février 2005

Stephan Eicher

Dans le monde bien rodé de la chanson contemporaine, le franco-suisse allemand Stephan Eicher apparaît comme un artisan, un amoureux des choses bien faites.

Côté texte d'abord, pour celui dont l'auteur fétiche et ami de longue date s'appelle Philippe Djian (37,2° le matin, ...). Côté musique ensuite, pour cet orfèvre qui aime à enregistrer dans les endroits les plus insolites et reculés: Carcassonne ou Engelberg.

Très médiatisé au plus haut de sa carrière (Déjeuner en paix, Pas d'ami comme toi, Combien de temps), Eicher peaufine désormais son oeuvre loin des médias, s'appliquant à construire un univers particulier que rien ne peut altérer, ni le temps, ni l'espace.
Pour Julia ,j'ai choisi cet extrait : Riviere
si vous aimez ce titre, achetez l'album il est vraiment genial





playlist
Non ci badar, guarda e passa
Année: 1994
Label: Barclay
Titres: DISC 1 :
Hope
Rien à voir
Pas d'ami (comme toi)
Ni remords, ni regrets
Tu ne me dois rien
Baiser orageux
Manteau de gloire
Rivière
Déjeuner en paix
Don't disdain me
Silence
Goodbies
Combien de temps
I can't help...
Des hauts, des bas Putain, putain
Des hauts, des bas (da capo)
Ciao, ciao

DISC 2 :
On the road (since a long time)
Le matin (intro)
Le matin
Rien à voir (intro)
Rien à voir
My heart on your back
Chanson bleue (intro)
Chanson bleue
Louanges (false start)
Louanges (unreleased)
Djian's waltz
Heiweh (Gordon in the truck)
Heiweh (Highway to hell)
Hope (intro)
Hope
O ba
Me taire
Liberi di ridere (l'Opéra)
Baiser orageux
Sînt Jenat (backstage)
Sînt Jenat (Hemmige)
Oh Jesu du meine Freude
I'm so lonesome I could cry
Lament

22 février 2005

All Right Now

Un grand moment!!
On retrouve chez FREE deux des futurs "BAD-CO" (le chanteur Paul Rodgers et le batteur Simon Kirke). Cet album est bien dans l'air du temps, les archétypes du HARD-ROCK n'étant pas encore définis il est existe donc une grande liberté d'arrêter son propre style. FREE est en train d'inventer une musique cool et carrée (d'autres moins inspirés en feront le triste "Hard-FM"). Un standard pour l'éternité: l'indemodable "All right now"....




Playlist:
1. Fire and Water
2. Oh I Wept
3. Remember
4. Heavy Load
5. Mr. Big
6. Don't Say You Love Me
7. All Right Now

le monde de la musique en deuil (03/07/71)

3 juillet 1971
Mort de Jim Morrison
Le chanteur du groupe "The Doors", James Douglas Morrison dit Jim Morrison, meurt à Paris dans son bain à 28 ans. Originaire de la côte Ouest des Etats-Unis, Jim Morrison avait formé le groupe en 1965 après sa rencontre avec l'organiste Raymond Daniel Manzarek sur les bancs de la faculté d'UCLA. Avec le batteur John Paul Densmore et le guitariste Bobby Krieger, ils seront très vite propulsés à la tête des hit-parade américains avec le 45 tours "Light my Fire". Poète incompris, Morrison incarnera le chanteur contestataire et désespéré des années 70. Son jeu de scène, agressif et suggestif, et ses abus d'alcool et de drogue lui vaudront quelques démêlées avec la police. Au moment de sa mort la chanson "Riders on the Storm", extrait de l'album "L.A Woman", fait partie des meilleures ventes de disques
le disque:L.A. WOMAN




Elektra/Asylum records
Produit par Bruce Botnick and The Doors
sorti en vinyl Avril 1971

1 - The Changeling
2 - Love Her Madly
3 - Been Down So Long
4 - Cars Hiss By My Window
5 - L.A. Woman
6 - L'America
7 - Hyacinth House
8 - Crawling King Snake
9 - The Wasp (Texas Radio And The Big Beat)
10 - Riders On The Storm

12 février 2005

Jeff Buckley

un super morceau live de Jeff Buckley chair de poule garantie!!
vraiment dommage qu'il ne soit plus la!!!!

Grace ,Seul abum acheve de celui que beaucoup considerent comme le plus grand chanteur du vingtieme siècle, Grace s'impose comme un monument du rock, à placer aux côtes de tous vos albums favoris sans hesiter...
Chaque titre vous prends comme à la gorge, incapable de resister à un tel magnetisme, comparable à celui de son inspirateur, Leonard Cohen, dont il reprend le classique Hallelujah....





11 février 2005

Beggar's Banquets

BEGGARS BANQUET

enregistré en 1968, aux studios London/Decca Records (devenus Abkco Records). Produit par Jimmy Miller.

Personnel:

Mick Jagger - chant, Harmonica, Percussions.
Keith Richards - Guitares solo et acoutique, Slide Guitare, Basse, choeurs.
Brian Jones - Slide et Guitare acoustique, Sitar, Mellotron, Tambourin, Percussions, Harmonica,choeurs.
Bill Wyman - Basse, Maracas et autres Percussions,choeurs.
Charlie Watts - Batterie et Percussions.

Personnel additionnel:

Nicky Hopkins, Rocky Dijon, Dave Mason, Ry Cooder, Marianne Faithful, Anita Pallenberg, Ian Stewart, Rick Grech. Watts Street Gospel Choir.

Je vous offre un extrait de ce super disque: Sympathy for the devil (remix) en hommage a mes voisins!!!!!





the clash

super groupe les Clash, j'adore ce morceau,la pub Lewis!!!
Des groupes punk qui réussirent à faire table rase du passé pour retrouver quelque chose de l'essence du rock'n'roll, les Clash furent sans conteste les plus intéressants. L'esthétique destroy des Sex Pistols ne dura que le temps de Never Mind The Bollocks. Quant aux autres (Buzzcocks, Damned, etc.), ils n'atteignirent jamais la maturité des Clash qui laissent quelques chefs-d'oeuvre comme London Calling et Sandinista. Militants marxistes animés par une vraie conscience politique, la bande de Joe Strummer sut mieux que personne mixer des genres comme punk rock, reggae et funk, prouvant du même coup qu'ils n'étaient pas antinomiques. Combat Rock, dont le titre claque comme un manifeste, est l'avant-dernier album du quartette britannique et précède la débâcle de Cut The Crap. On y trouve encore ce qui fait la puissance du groupe : "Rock The Casbah" et surtout l'hymne "Should I Stay Or Should I Go ?". Fidèle à son esthétique moins nihiliste que celle des Sex Pistols, Clash a l'intelligence de se séparer peu de temps après. Il reste une poignée de disques convaincants, dont celui-ci





5 février 2005

rock news

Bob Marley

une chanson qui donne envie de se rebeller enfin contre toutes les injustices que je vois autour de moi!
un excellent disque ,si vous l'aimez achetez le!
jp
date d'enregistrement : 1973
Produit par : Bob Marley & The Wailers
Producteur exécutif : Chris Blackwell
Photos : Adrian Boo
Surfant sur la mode naissante des compilations, Chris Blackwell sort Legend en 1984. Le disque rassemble une poignée de grands tubes qui couvrent toute la période "Island" de la carrière de Bob Marley & The Wailers (1972-1981). Legend comme son nom l'indique, joue à fond le jeu du mythe Marley, avec sa somptueuse photo sur la pochette (prise pendant le tournage du"clip" de Is This Love au Kiskedee Center de Londres) et le texte intérieur.
Le contenu du disque a évolué à mesure des différentes sorties. Par exemple, l'édition d'origine inclut Punky Reggae Party(*), l'hymne à l'alliance entre les Punks et les Rastas que Bob et Lee Perry avaient enregistré en 1978. Le titre disparaîtra des éditions suivantes.
Legend est un vrai succès commercial, classé plus de 64 semaines dans les charts américains. A ce jour, c'est même la compilation la plus vendue au monde (plus de 16 millions d'exemplaires). En tout cas, c'est le disque idéal pour découvrir le travail de Bob Marley.



Playlist :
Is This Love
No Woman No Cry
Could You Be Loved
Three Little Birds
Buffalo Soldier
Get Up Stand Up
Stir It Up
Easy Skanking
One Love People Get Ready
I Shot The Sheriff
Waiting In Vain
Redemption Song
Satisfy My Soul
Exodus
Jamming
Punky Reggae Party*




3 février 2005

Lost Bands Of The New Wave Era

2 février 2005

jimmy Hugues

bien soul un morceau trouvé sur le net : Did you Forget





1 février 2005

jimi

un de mes morceaux preferes, pas facile a faire l'intro meme avec de la bouteille!! c'est un must!!





31 janvier 2005

medley fabfours

Medley des titres principaux des fabfours